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En passant...

 

30/10/11

 

Je viens, je pars, je reviens et j'espère ne pas repartir...

Qui sait?

J'ai du mal à rester fixée.

Je continue, néanmoins, à lire. C'est ma seule constante!

 

Les mises à jour sont plus nombreuses sur la page FB du blogue, ainsi que sur mon Twitter...

Malheureusement, ça n'a pas toujours rapport à la littérature... mais bon, les livres, c'est avant tout la vie, non?

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16 juin 2011 4 16 /06 /juin /2011 15:43

L'avantage avec un bon livre, c'est que c'est bourré de citations qu'on adore...

Le jeudi c'est citation.gif

 

 

« Nous étions tous les trois en face du fleuve, qui s'élargissait tout à coup entre la pointe de Lauzon et l'anse de Beauport, se partageant en deux bras pour entourer l'Île d'Orléans. Le paysage était immense, presque trop vaste, et on pouvait difficilement le contempler sans songer aux grands voiliers partis de Saint-Malo ou de La Rochelle au XVIe pour chercher l'Eldorado ou une sorte de paradis perdu. Et pour ma part, toute cette beauté qui se déployait à perte de vue me donnait le sentiment que, dans l'ordre des choses du coeur, le Québec était mon pays. »

 

p.66, Les yeux bleus de Mistassini, Jacques Poulin

 

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11 juin 2011 6 11 /06 /juin /2011 17:48

     Encore un autre Holmes !

 

     Celui-là, je l'ai lu à cause de mon cours d'anglais, à la dernière session. C'était le livre que le prof avait décidé de nous faire lire pour nous habituer à la lecture anglaise. (chouette prof, n'est-ce pas?)

     Entre nous, la première partie est vraiment intéressante. On rencontre Sherlock Holmes et Watson dans leur appartement de Baker Street où ils recevoient un message codé prédisant un meurtre dans un manoir. En découvrant que le message codé provient d'un des hommes de main de Moriarty (mais est-ce vraiment un de ses hommes de main qui l'a trahi ou si c'est Moriarty qui se fait passer pour tel? Mystère), Holmes saute à pied joint sur l'énigme et se rend au dit manoir, accompagné de Watson, comme toujours.

 

     J'ai vraiment aimé cette première partie qui constitue l'enquête de Holmes sur l'affaire. Malheureusement, ça se gâte à la deuxième partie où la victime (ou le meurtrier, tout dépendant de quel côté on se place) raconte son histoire. Là, c'est moins l'fun. J'accorde le bénéfice du doute à cause de la langue, parce que je ne me sens pas très à l'aise avec cette langue.

     L'histoire de société secrète où les éléments vraiment importants (à mon sens, on s'entend) ont été éclipsé en une seule phrase, parfois, ne m'a pas enthousiasmé...

 

     Mais le pire ! L'épilogue ! Une page et demie pour tout expliquer de ce qui est arrivé Mr. Douglas (la victime dans la première partie) après qu'il se soit enfui d'Angleterre avec une touche de soupçon envers Moriarty... sans vraiment avoir de preuves plus solides que le sentiment très fort que c'est lui. En tout cas, si vous commencez à découvrir Holmes, je ne vous conseille pas ce livre. J'ai cru qu'il était paranoïaque et qu'il voyait Moriarty partout, sans aucune raison...

 

     J'aurais arrêté après la première partie !

 

 

BanniereSherlock

Encore une touche pour le Challenge Holmes!!

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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 15:21

Oui, un autre jeudi citation sur Les yeux bleus de Mistassini de Jacques Poulin !Le jeudi c'est citation.gif

 

« Les Dix Commandements de l'Écrivain

1. Tu mettras ton premier roman au panier.

2. Tu voleras les idées de tes collègues.

3. Tu ne répondras pas aux critiques.

4. Tu ne déjeuneras pas avec ton éditeur.

5. Tu refuseras les prix littéraires s'ils ne sont pas accompagnés d'une somme d'argent.

6. Tu ne vérifieras pas si ton nouveau livre se trouve en libraire.

7. Tu diras du mal de tes collègues mais seulement dans leur dos.

8. Tu n'écriras pas tes mémoires.

9. Tu tâcheras de mourir jeune.

10. Tu ne passeras pas à la télé. »

 

p.51 Les yeux bleus de Mistassini, Jacques Poulin.

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6 juin 2011 1 06 /06 /juin /2011 16:02

     Encore un autre petit folio 2£ qui présente les aventures de Sherlock Holmes créé par Arthur Conan Doyle. Plus je lis ses aventures, plus je trouve ça intéressant. J'étais loin d'être convaincu, ayant lu The Valley of Fear (dont je parlerai plus tard) que j'avais plus ou moins aimé.

     Avec L'interprète grec et autres aventures de Sherlock Holmes, on suit Sherlock à divers moments de sa cohabitation avec Watson. C'est incroyable de découvrir les détails des personnages qui ont été repris dans la série, que j'ai adoré. Quand je lis Conan Doyle, je peux m'imaginer que c'est Benedict Cumberbatch qui mène l'enquête sans dévier de la narration et changer quoi que ce soit de l'histoire.

 

     Et c'est vraiment mieux qu'un vieux moustachu.

 

     Herm. Donc, je disais que dans ce tome-ci des aventures incroyables de Holmes, on se rend compte qu'un beau-père fauché est dangereux, surtout s'il passe beaucoup de temps avec les bohémiens, que de vieilles phrases transmises de génération en génération peut cacher un trésor, et que finalement, être une jeune femme grecque, riche et en voyage, il ne faut pas tomber dans les bras d'un beau parleur anglais. Je dois avouer que dans la plupart des cas, j'avais deviné la solution... Mais bon, étant donné que Watson rapporte les analyses de Holmes, ça devient plus facile.

 

     Pour moi, ce n'est pas tant les enquêtes qui me fascine, mais le personnage de Sherlock qui est présenté sous différents aspects à chaque nouvelle enquête. On en apprend davantage à chaque fois, et c'est ça qui est le plus intéressant !

 

L'interprète grec et autres aventures de Sherlock Holmes, Arthur Conan Doyle.

 

 

 

 

 

BanniereSherlock.jpgJe me fais un petit challenge Holmes pour cet été...  Prend qui veut ! (En échange d'un petit lien vers mon blog, bien sûr...) 

 

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4 juin 2011 6 04 /06 /juin /2011 16:46

BanniereSherlock

 

     Si vous avez suivi un peu les derniers billets que j'ai mis en ligne, vous vous êtes rendu compte que j'étais partie sur une lancée Holmésienne, à cause de la nouvelle série de la BBC créé par Steven Moffat au nom tout simple de Sherlock, que j'ai littéralement adoré !

 

     Et comme j'ai décidé de lire un peu tout ce que l'auteur original (Arthur Conan Doyle, pour ceux qui n'avait pas suivi) a écrit sur le personnage. Et jusqu'à présent, c'est assez agréable ! :)

 

     Donc, j'ai décidé de regrouper tous mes billets sur ce sujet sous une même bannière et par la même occasion, j'en ai fait un challenge. Pour moi surtout, mais si vous en avez envie, vous n'avez qu'à embarquer ! Je sais qu'il y en a eu un, je crois, il n'y a pas longtemps, mais c'est comme je disais, c'est surtout pour moi avant tout... (N'empêche que si vous en avez envie, un mot ici, un lien vers mon blog et voilà ! Je vous rajoute dans la liste !)

 

- Sherlock, par Steven Moffat, BBC 2010

 

- L'interprète grec et autres aventures de Sherlock Holmes, Arthur Conan Doyle, folio 2£

 

- L'Homme à la lèvre tordue et autres aventures de Sherlock Holmes, Arthur Conan Doyle, folio 2£

- The Valley of Fear, Arthur Conan Doyle, Penguin

- ...

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2 juin 2011 4 02 /06 /juin /2011 14:57

     Oui ! J'ai des citations pour le Jeudi Citation de Chiffonnette !

Le jeudi c'est citation.gif

 

     Elles sont toutes sorties tout droit de Les yeux bleus de Mistassini de Jacques Poulin, une relecture pour moi puisque j'en avais déjà parlé ici.

 

« - Ce murmure, il venait d'où exactement?

  - Oh! C'est un truc assez connu dans le milieu des libraires, dit-il. On place des recueils de poésie ici et là dans les rayons, parmi les autres livres. Comme tu le sais, les poètes sont les dépositaires de la tradition orale et, pour cette raison, ils sont toujours prêts à réciter leurs vers. Alors, la nuit, quand on ne peut pas dormir et qu'on fait les cent pas dans la librairie silencieuse, on peut entendre le murmure de leurs voix et ça nous donne un peu de réconfort.

     Je devais avoir la bouche grande ouverte comme un zouave, car il se mit à rire doucement [...] »

 

p.11 Les yeux bleus de Mistassini, Jacques Poulin

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1 juin 2011 3 01 /06 /juin /2011 05:09

     Enfin.

 

     Enfin, j'ai pu tenir la suite des aventures de nos amants virtuels préférés, Léo et Emmi. Arrivé hier par la poste (recevoir une petite boîte en carton recyclé est toujours, TOUJOURS une joie des plus grande. Ça veut dire que quelqu'un pense à vous, bon que ce soit vous qui pensez à vous n'a absolument aucune importance.) arrivé, donc, par la poste en provenance de France, parce que je ne suis qu'impatience et que les grands éditeurs, parfois, ne pensent pas à leur public assoifé de mots et d'histoires.

     En effet, je ne répèterai pas les folles aventures que j'ai eu pour tenter d'obtenir un exemplaire de La septième vague de Daniel Glattauer, mais pour résumer, après de nombreuses déconfitures de la part de mon libraire, d'Amaz** et de la maison d'édition, j'avais décidée de prendre mon porte-feuille à deux mains et de dépenser légèrement plus pour me faire plaisir. Et pour cesser cette obsession de savoir ce qu'il allait se passer, finalement, dans ce tome pas prévu par l'auteur mais tellement réclamé par ses admirateurs.

 

     Et j'ai aimé. Oui, ça m'a plut, même si, malheureusement, les répétitions se promènent par cargos entiers, même si le jeu des échanges n'est plus le même (peut-être à cause de la non-nouveauté?) et même si la tension entre les deux personnage ne parvient plus à un paroxysme semblable au premier livre... Mais en fait, ce paroxysme, ils le vivent et nous on en est privé. (oui je crois à la vie des personnages en dehors du livre. Comme dans les livres de Jasper Fforde. Pourquoi vous croyez qu'ils m'ont tellement plû?)

     J'ai aimé les échanges entre eux, même si je dois avouer que à un moment ça a commencé à me lasser. (Bon, en même temps quand il passé 11h30 du soir, j'ai peut-être un peu moins de patience...)

 

     Ils sont si mignons tous les deux.

 

     J'aimerais tellement vivre une relation dans ce style là... ! Qui n'aimerait pas ça !? Mais je dois avouer que Léo a perdu de son mordant dans ce livre-ci... Même avec un verre de vin. Mais pas Emmi ! Haha, la discussion avec ses verres de whisky, j'adore !

 

    Bref, j'aime bien. Malgré tout...

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30 mai 2011 1 30 /05 /mai /2011 21:24

      Je suis là depuis au moins dix bonnes minutes, à regarder mon écran sans trop savoir comment commencer ce billet. C'est que, cette fois-ci, le roman dont je veux parler a une valeur toute spéciale pour moi. J'ai eu le grand plaisir d'avoir l'auteur comme professeur de création littéraire à la dernière session universitaire et j'ai beaucoup aimé ses cours. D'ailleurs, ils vont me manquer, un peu, je l'avoue... Et j'ai eu l'honneur de voir mon exemplaire dédicacé :)

 

Cartes postales de l'enfer de Neil Bissoondath

« Alec est un homme d'affaires qui a créé sa petite entreprise. Il est collectionneur de voitures anciennes. Il est issu d'une famille modeste. Sa mère s'occupait de la maison, son père travaillait dans une usine d'automobiles en banlieue de Toronto. Pour Alec, la vie est un tissu de mensonges qu'il se raconte à lui-même et qu'il répète aux autres. Il est convaincu de devoir son succès à son talent, bien sûr, mais aussi au personnage qu'il s'est fabriqué: celui d'un homosexuel entretenant de nombreuses relations dans les milieux huppés d'où est issue sa clientèle.

Pour Sumintra, ou Sue, comme elle se nomme elle-même, il est hors de question de faire mentir l'image que ses parents se font d'elle, même si elle s'est ménagé une vie parallèle, à l'abri de leur regard. Quand elle fait la connaissance d'Alec, leurs vies secrètes se rejoignent et ils se découvrent amoureux l'un de l'autre. Le problème, c'est que leurs vies publiques vont à l'encontre de ce qu'ils sont, de ce qu'ils désirent, et les poussent vers tout ce qu'ils redoutent.

Dans ce roman bref qui tient le lecteur en haleine jusqu'aux dernières lignes, Neil Bissoondath propose sur le mode intimiste une troublante réflexion sur l'identité, sur les différentes identités qui s'opposent en nous: celle que nous lègue notre famille, celle que veut nous imposer la société, celle pour laquelle nous sommes prêt à risquer notre vie. »

 

     Quel roman que celui-ci ! Après la traduction, plutôt quelconque dont j'ai montré une des faiblesses ici, du Dôme de Stephen King (dont j'ai parlé précédemment), c'est un véritable plaisir que de lire les mots de Neil ! C'est délicieusement bien écrit et j'avoue avoir été happée jusqu'à la fin - la preuve, je l'ai dévoré en une seule soirée !

 

     On voit jusqu'où les secrets que l'on se forge sur soi-même pour les autres peuvent nous mener. Deux êtres qui son liés par leur besoin de se forger une image d'eux-mêmes pour leur entourage se retrouve et ne peuvent faire autrement que de tomber amoureux l'un de l'autre. Une histoire de désirs avant tout, de désirs physique, mais aussi de désirs d'être soi-même envers et contre tous.

 

     Vraiment surprenant, et la fin m'a surprise, mais elle en dit beaucoup sur le personnage principal. Je ne vous dirai rien de plus, seulement que c'est un très bon livre ! Je vous le recommande chaudement !

 

:)

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28 mai 2011 6 28 /05 /mai /2011 20:55

     Vous avez sûrement entendu parlé du dernier roman de Stephen King, ex-roi de la littérature d'horreur. Oui, je dis bien ex-roi, parce que si S. King a toujours énormément de talent (c'est indéniable), son écriture se centre avant-tout à l'observation d'une humanité poussée dans ses extrême retranchements. Certaines scènes restent vraiment crues (comme par exemple quand le gamin décide de tirer sur le Dôme et que la balle lui entre dans un oeil... oui, c'est pas très ragoûtant), mais l'horreur que j'ai pû ressentir à la lecture de ses autres oeuvres n'est plus présent (et depuis longtemps).

 

Voici le Dôme.

     J'aime particulièrement la quatrième de couverture: Le Dôme: Personne n'y entre, personne n'en sort. C'est tout, pas de flafla, ni de pseudo pistes qui font en sorte de nous titiller et que finalement il n'y a rien. Nope ! Rien qu'une phrase qui résume à elle seule la base du roman.

 

     Chester Mill, petit, petit village du Maine aux États-Unis où soudainement ceux qui se trouvaient dans les limites de la ville se trouve plongé dans un isolement physique du reste du pays. Un dôme s'est installé sur la ville. Évidemment quand les autorités se trouvent éloignée d'une quelconque manière, l'homme reprend ses instincts assez rapidement.

 

     Je me suis laissée tentée après avoir lu une majorité d'avis enthousiastes sur la bloguosphère. Tout le monde disait que le grand Stephen King était revenu après quelques mauvais romans. C'est donc avec de grands espoirs que je me suis lancée dans cette lecture.

 

     Je n'ai pas été déçue par ce premier tome, loin de là, mais je m'attendais à quelque chose d'un peu différent. Évidemment, c'est un premier tome, l'action va se préciser dans le deuxième, mais c'est que c'est vraiment similaire au Fléau que j'ai déjà lu. C'est la même base, c'est-à-dire une communauté qui se divise en deux, les bons et les méchants, qui se battent pour avoir la suprématie de la communauté.

 

     Bref, ce fut une bonne lecture et j'ai hâte de voir ce qui va se passer dans le second tome ! En plus avec la finale sur laquelle on est laissé... !

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 02:58

     Comme beaucoup d'entre vous, j'ai une Pile de Livres à Lire (près de mon lit qui oscille de temps à autre, menaçant de me tomber dessus si j'exagère sa hauteur), mais bon, j'ai eu une journée pénible et mes pieds m'ont mené (c'était totalement contre ma raison, mon corps s'est rebellé contre ma tête, ça donne des positions pas possible...) tout droit à la librairie.

     J'ai le grand avantage (ça dépend de la personne à qui vous posez la question, évidemment) de travailler près d'une librairie qui se prend parfois pour un Renaud-Bray. Ainsi, malgré le fait que la dite librairie fait environ la moitié, sinon le tiers de son concurrent fort reconnu, le choix des livres reste assez, euh... moyen disons. Je passe rapidement, je ne manque jamais une occasion de me plaindre de leur choix (imaginez une demie tablette pour la section Poésie. L'autre demie tablette est occupée par la section Théâtre. J'ai failli avoir une attaque.) Enfin bref.

 

     Oui, j'ai beau me plaindre de ma librairie, il n'empêche que juste le fait d'avoir une librairie à proximité me remplie de joie, quand même ! Et c'est donc en plein heure de dîner que je me suis offert une petite gâterie:

o2.jpeg

     Alors nous avons cinq petits livres pour un total de vingt dollars ! Wouhou ! J'ai fait une petite razzia dans la section Folio 2£ et dans la section des éditions Mille et une nuits... J'aime bien le format de ces livres, ça se lit bien entre deux gros pavés - genre Le Dôme que je suis en train de terminer...

 

    

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