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En passant...

 

30/10/11

 

Je viens, je pars, je reviens et j'espère ne pas repartir...

Qui sait?

J'ai du mal à rester fixée.

Je continue, néanmoins, à lire. C'est ma seule constante!

 

Les mises à jour sont plus nombreuses sur la page FB du blogue, ainsi que sur mon Twitter...

Malheureusement, ça n'a pas toujours rapport à la littérature... mais bon, les livres, c'est avant tout la vie, non?

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18 février 2012 6 18 /02 /février /2012 02:14

Bonjour à tous,

                            eh oui, j'ai bien peur qu'il va falloir en arriver là... J'ai attendu, en vain, que l'inspiration et l'envie me reviennent, mais finalement, rien ne s'est passé. Je crois que mon penchant pour les blogs s'est peu à peu évaporé avec l'arrivée en masse de nouveaux blogueurs (très semblables pour la plupart) et le manque de nouveauté accrocheuses dans le milieu livresque. Ou alors c'est juste moi. Haha, que voulez-vous... Ce fut une aventure intéressante pendant toutes ces années, mais bon, les pages se tournent ! :)

 

Je laisse mon blog ouvert encore quelques temps, mais éventuellement il finira par disparaître, comme tout ce qui se trouve sur le net...

 

Bon voyage pour les autres qui continuent ! Je continuerai à vous lire, mais je retourne dans l'ombre...

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18 décembre 2011 7 18 /12 /décembre /2011 23:06

J'aime beaucoup Philip K. Dick depuis que j'ai commencé à lire ses nouvelles, tout à fait par hasard, il y a quelques mois. Il y est tellement imaginatif avec ses histoires en concentrées qu'on a l'impression que ce monde parallèle de son univers littéraire est bel et bien réel.

 

Mais cette histoire d'amour ne peut pas être parfaite. Hélas!

 

C'est avec un soupir de soulagement que j'ai refermé Blade Runner de Dick. C'est triste à dire, mais oui, j'ai été soulagée quand je l'ai terminé. Jusqu'à la toute fin, j'ai cru que j'allais finir par me passionner pour les personnages, mais non. Attention, ça n'était pas un incroyable enfer que de traverser ce livre, ça reste intéressant tout de même. Sauf que je n'ai pas été transportée comme je m'y attendais.

Une preuve à l'appui c'est que je n'ai presque pas de souvenirs de l'histoire, à part les androïdes cachés dans un immeuble abandonné et servis, d'une certaine façon, par un humain dont le cerveau était à moitié mort. Et son éternelle mouton électrique, obsédente idée du personnage principal.

Par contre, l'idée du transmetteur d'émotions est vraiment bien trouvée, l'idée pourrait être à creuser, j'aime l'image que ça renvoit de l'humanité qui cherche simplement à ne pas se poser de questions...

 

Mais bon, sinon, c'est un peu un rendez-vous manqué avec le livre le plus connu de cet auteur que je continue à chérir malgré cette fausse note entre nous!

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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 22:33

Je ne suis pas vraiment thriller dans ma vie littéraire, je préfère écouter une bonne série qui en reprend les ingrédients que de le lire. En fait je ne sais pas trop pourquoi, le genre enquête sombre ne m'avait jamais vraiment attiré (sauf avec Qui a tué Glenn, mais ça je pouvais pas dire non, une enquête faite par des moutons! Trop drôle!) (J'étais certaine que j'en avais déjà parlé ici... mais manifestement non... bizarre...) (Non, ce n'est pas un thriller, mais c'est drôle par contre)

Bref, c'est pas le genre de livre vers lequel je me dirige naturellement... jusqu'à il n'y a pas très longtemps. Je suis tombé sous le charme d'un maître en la matière (très subjectif) et j'ai nommé Franck Thilliez, que j'ai découvert avec Le Syndrome [E].

 

On y retrouve les deux enquêteurs vedettes de Thilliez, Sharko et Henebelle, qui viennent à se rencontrer sur une affaire des plus étranges (et ma foi assez jouissive) mélangeant la cinématographie, l'histoire de l'ère Duplessiste du Québec, les messages subliminaux capables de provoquer la Violence avec un grand V et j'en passe. L'auteur a réussi à non seulement écrire une intrigue hallucinante pleine de rebondissement (ha, juste la fin, grrr.) et de suspense, mais il a réussi à y intégrer un début de relation entre ses deux personnages principaux caractérisés par leur noirceur respective (et à laquelle je n'en suis qu'au début de la découverte!).

 

Des enfants et des lapins. Et juste cette image me fait frissonner! Haha, alors pour savoir, va falloir le lire...

 

510 pages de joie, fascinée au point de couper dans mes heures de sommeil (ça faisait longtemps que ce ne m'étais pas arrivé)

Rien d'autres à dire que c'est vraiment excellent et j'ai découvert là un auteur dont j'ai l'intention de continuer à lire son oeuvre au complet!

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12 décembre 2011 1 12 /12 /décembre /2011 03:37

Honte à moi. J'ai fait mes études en lettres, à l'université, et je n'avais jamais lu d'oeuvres de Milan Kundera. Non, jamais !! À peine quelques phrases de L'insoutenable légèreté de l'être qu'on avait analysé en Psychanalyse ou en Essai, je sais plus...

 

Mais bon, je n'avais pris la peine d'acheter un de ses livres et de me plonger dans ses oeuvres... et quel plaisir quand je l'ai fait ! Je n'ai pas commencé par son livre par lequel tout le monde commence son incursion dans son univers, mais par un livre un peu moins épais, dont on parle moins.

 

C'est La lenteur par Milan Kundera, donc.

 

Quel bonheur! Je suis tombée en amour avec sa plume, avec sa réflexion. On sent l'intelligence derrière les propos, derrière les histoires présentées. On comprend les messages qui sont véhiculées...

J'ai beaucoup aimé le décalage entre l'histoire du chevalier et celle du conférencier... à choisir, je préfèrerais vivre celle du chevalier. Plus de lenteur, pour plus de saveur, pour plus de mémoire. Aujourd'hui, tout étant trop rapidement avalé, digéré, et vite vite vite, on passe à autre chose. Quelle époque, n'est-ce pas?

C'est court, beaucoup trop court, j'en aurais pris davantage encore...

Mais une chose est sûre; je vais continuer de lire Kundera ! Il s'est fait une nouvelle adepte!

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 02:56

Je parle du deuxième tome de la série du Protectorat de l'Ombrelle que j'ai décidé de lire en VO. Alors, ici il ne sera pas question de "Sans forme" mais de "Changeless". Non mais quelle mauvaise traduction! À mon avis, bien sûr! Il me semble que j'aurais opté pour "Sans changement" plutôt que "Sans forme" ! Si vous saviez le temps que ça m'a pris pour faire le lien entre le titre et le livre ! Arf.

 

Bref.

 

Je vais vous le dire sans détours, ce n'est pas un coup de coeur pour moi. Ça fait déjà un mois ou deux que je l'ai lu et je m'en souviens pratiquement pas. Je me souviens de la fin, je me souviens que beaucoup d'entre vous ont été outrés, même scandalisés, et j'avoue que c'est fort comme réaction, mais tout de même... bof. Autant j'ai été transporté par le premier, Soulless, autant j'ai dû me forcer pour terminer celui-ci.

 

Il n'empêche que j'ai bien aimé le personnage de cette femme inventeure à l'ambiguité (ou androgynie, les deux sont applicable je crois) délicieuse, Ivy qui est toujours aussi colorée et qui entraîne un bordel incroyable dans son sillage, l'ancien pack de Maccon, délicieusement scottish...

 

Mais la sauce n'a pas pris. C'est triste... mais bon, je compte bien continuer à lire la série, ça va prendre juste un peu plus de temps avant que je me procure le troisième tome...

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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 02:02

Voilà, les trois derniers billets sont ceux que j'ai récupérés sur l'ancien nouveau blog que j'ai supprimé (terrible aventure. La plate-forme Wordpress est comme un mirage en plein désert; semble attrayant, incroyable, délirant, mais une fois sur place, il n'y a que du sable.) Maintenant que cela est fait, du neuf !

 

Depuis le mois d'août dernier, j'ai succombé à la révolution électronique de la lecture et j'ai acheté une controversée Liseuse avec un grand L. Oui, une liseuse (mais appelle-t-on encore ça une liseuse?). Mais pas n'importe laquelle, une Kobo. Et je l'aime d'amour, mon Kobo! C'est vraiment chouette un livre électronique et je suis certaine que la plupart qui l'ont essayé, l'ont aimé.

 

Voilà mon bébé:

Mon Kobo est tactile. Le petit bouton dans le bas est celui qui me ramène au menu principal. L'autonomie de la batterie est d'environ un mois, c'est confortable parce que ce n'est pas rétro-éclairé (comme une tablette par exemple... Beaucoup de gens confondent encore ces deux jouets) et je peux surligner des passages intéressant et les sauvegarder. Très grande capacité de mémoire aussi. Bref, c'est beau, c'est chic, c'est pratique, je l'aime!

 

Mais je me suis rendu compte d'un truc. Depuis que je l'ai et que je l'exibe un peu partout où je vais, j'ai entendu l'opinion de la plupart des gens qui m'entoure. Et ce que je me suis rendu compte, c'est que la plupart des gens qui n'ont jamais essayé ce genre de support, ont des opinions extrêmes qu'ils gardent dans les extrêmes. Je m'explique; on m'a souvent dit : "Oh non, moi le livre electronique, c'est pas pour moi, je préfère le papier, moi c'est vraiment plus le côté traditionnel, le papier, blablabla bla bla bla." Hum. Oui, je suis totalement daccord. Et alors? C'est pas parce que j'ai une liseuse que j'ai arrêté d'acheter des livres papiers. Bien au contraire! En fait, j'utilise ma liseuse dans deux occasions; la première c'est pour les livres gratuits (il suffit de chercher un peu sur le net!) et la lecture dans les transports en commun. (Petite anecdote de vie: j'ai choisi de vivre un peu loin de mon travail, ce qui fait que je prends trois autobus pour me rendre et trois autobus pour revenir, pour un total d'une heure le matin et d'une heure et demie le soir. J'ai donc le temps de lire! Mais vous comprendrez que Dôme de Stephen King en grand format alors que le bus est plein, en plein hiver, c'est pas l'idéal. D'où l'intérêt pour mon Kobo)

 

Bref, tout ça pour dire qu'il n'y a pas d'extrême; c'est pas parce que j'ai une liseuse que je n'ai plus de livre papier. Ce n'est pas parce que j'ai une liseuse que je suis contre le livre papier.

 

Ouvrez votre esprit, rien n'est tout blanc, rien n'est tout noir!

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3 décembre 2011 6 03 /12 /décembre /2011 01:35

... En tout cas, c'est ce que j'ai pensé quand j'ai terminé la lecture de la pièce "Les grandes chaleurs" de Michel Marc Bouchard. Vous connaissez le film? Si non, courrez le voir. Si oui, ne lisez pas la pièce. Ou alors oui, lisez-la pour mieux en rire !

 

C'est vraiment différent !!

 

Mais alors là, vraiment différent... J'en ai eu le souffle coupé. Il faut dire que j'ai adoré le film réalisé par Sophie Lorain avec François Arnaud et Marie-Thérèse Fortin. C'était frais, c'était coloré, joyeux, bref un vrai film d'été. Et la musique de Dazmo était renversante. La pièce originale de Michel Marc Bouchard est, de son côté, extrêmement marquée par la décennie qui l'a vue naître... c'est-à-dire le début des années 90.

Je ne sais pas si vous vous en souvenez, mais ce n'était flatteur pour personne. Les couleurs fluo, le joual encore très en vogue dans toutes les régions du Québec, les comportements de "mononcle" et de "matante"... Ouf! Si vous ne les avez pas vécu, vous avez manqué quelque chose.  J'ai des photos de famille qui date de cette époque et ouf! hein... Les cheveux pleins de fixatifs et crêpé dans les airs, les épaulettes, les couleurs fluo (oui, j'ai été marqué par les couleurs fluo!!)... herm, mais on s'éloigne un peu du sujet.

Donc, je disais donc qu'elle était très marquée par son époque. Les personnages sont hauts en couleurs... J'ai eu peur du personnage de Gisèle qui porte des perruques de toutes les couleurs pour se rajeunir, qui se maquille à outrance et qui porte des costumes serrés rose. (Fluo, of course) Le personnage du voisin, appelé Napoléon ce qui n'aide pas du tout, aussi m'a un peu laissé perplexe... un "mononcle" dans tous les sens du terme qui ne pense qu'à bricoler des balcons, des rallonges et autres travaux manuels... et qui finit avec Louisette (!?!?) Louisette qui cruse tout ce qui a, à peu près, l'âge de sa mère... ouf !

 

Et les mots doux... ! Oh my gosh... Je pourrais dire que j'ai été légèrement rebutée par l'usage d'un langage joualisé, mais ce ne serait pas vrai. Après tout, c'est la langue de la pièce, de l'époque, de la période... mais ces mots doux ! (Là, il faut m'imaginer avec des yeux ronds dans une expression de parfaite perplexité)

Voici un exemple qui se répète tout du long, et ce, dans l'ordre:

«Gisèle: Grand fou!

Yannick: Ma belle pitoune sucrée!

Gisèle: Mon beau minou!

Yannick: Ma belle crotte d'amour!"

Ça vous donne une idée ? C'est en effet, assez coloré....

 

Bref, tout ça pour dire que j'ai préféré sans aucun doute possible la version filmique que la pièce originale et que je vous recommande chaudement ce premier... Pour la pièce, lisez-la si vous voulez rire un bon coup, mais ça reste très typé...

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 01:17

En effet, c'est uniquement parce que j'aime la série télévisée Castle que je continue à lire la série de livres qui lui est consacrée. Enfin, consacrée, disons une extension de la série. Pour ceux qui ne connaissent pas la super série Castle avec Nathan Filion et Stana Katic, eh bien il se trouve que dans la série, le personnage principal est un écrivain qui s'inspire d'une inspectrice de police en la suivant partout comme un petit chien. Et il se trouve que, afin de faire un peu plus d'argent (ou de satisfaire des fans complètement hystériques), la chaîne ABC a décidé de publier les livres de cet écrivain dont on parle dans la série.

Sauf que.

 

Je ne sais pas qui est celui qui écrit les livres, mais j'ai plus l'impression que c'est un scénariste qu'un véritable écrivain. Pourquoi ? Parce que le style, tout en restant assez populaire, aurait un meilleur rendu sur pellicule et non en narration. Je m'explique; il faut parfois faire un effort un peu plus soutenu de lecture pour imaginer les enchaînements d'actions que dans un livre plus... littéraire. Bref, j'ai l'impression de lire un scénario.

Il n'empêche que ce deuxième tome (oui, déjà le deuxième, j'avais parlé de Vague de chaleur ici) reste amusant; on voit davantage la relation Nikki/Rook, moins comme une histoire de sexe, mais un peu plus sérieusement. Rook n'a pas pu s'empêcher d'écrire sur Nikki qui en a un peu marre de se voir ainsi exposer à la vue de tous. Rook tente de reprendre le contact avec elle, mais découvre que c'est plus difficile qu'il le croyait, à cause de cet article. C'est en lien avec le battage médiatique qui entoure les romans de Castle sur Beckett dans la série télévisée.

 

Malheureusement, ce n'est pas un livre qui va me rester en mémoire... Certes, c'est intéressant, amusant, mais sans plus. Il lui manque la petite étincelle...

Bref, pas mauvais, mais c'est surtout réservé aux fans de la série qui ont envie de voir davantage que la série. "L'envers du décor"!

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 00:56

Ça faisait vraiment longtemps que je veux lire "Le Grand Roman de Flemmar" de Fabien Ménar, l'auteur du très apprécié (et même vénéré) "Musée des Introuvables" qu'une de mes professeures de Cégep avait été bien inspiré de nous faire découvrir.

 

Eh bien, c'est maintenant fait.

 

Si je n'ai pas retrouvé la petite étincelle qui m'a fait accrocher au Musée des Introuvables, il n'empêche qu'on sent les éléments se mettre petit à petit en place. Ici, c'est surtout Flemmar qu'on suit, Flemmar et les évènements incroyables qui peuvent lui arriver... Et Josette, l'héroïque Josette qui affronte les tempêtes de son Flemmou avec un stoïcisme rien de moins qu'héroïque (oui je l'ai dit deux fois héroïque! Parce que ça ferait longtemps que je lui aurais donné une paire de claque, à sa place. Il n'est pas facile, son Flemmou)

C'est drôle, on apprécie, mais il faut avoir aimé d'amour le deuxième pour apprécier ce livre-ci. Disons que si je n'avais pas connu le deuxième, je n'aurai probablement pas lu celui-ci. Ou je ne l'aurai pas fini... En tout cas, moi je vous le dis, courrez donc acheter Le Musée des Introuvables ! Et pis, après, si le coeur vous en dit, allez chercher Le Grand Roman de Flemmar.

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21 juin 2011 2 21 /06 /juin /2011 01:47

     ... même après ce beau départ post-université, je dois me rendre à l'évidence; j'ai envie de relecture. Encore plus que de lecture...

 

     J'ai envie de revivre la rencontre entre Claire et Jamie, de cotoyer à nouveau le terrible Long John Silver, redécouvrir le musée des oeuvres introuvables, me replonger dans les folles années de Fosca, etc.

 

     Il faut aussi dire que je me prépare à quitter le foyer familial pour voler de mes propres ailes, moi qui n'ai jamais pris de grandes décisions... C'est pas facile facile, mais ce ne l'est pour personne, alors ça va aller... Je déménage donc dans quelques semaines, et je ne sais pas encore combien de jours j'aurai à passer sans internet... (Calamité !)

 

     Au fait, je mettrai bientôt en ligne une liste de livres que j'aurai à donner, question de faire de la place dans ma bibliothèque, afin d'accueillir les petits nouveaux !

 

     Bref, je met donc ce blog en pause pour une durée de quelques semaines (d'ici milieu juillet je crois... si tout se passe bien!) et je vous redonnes des nouvelles bientôt !!

 

     Passez de belles vacances !!

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